Oxford again!

Ce week-end, j'ai joyeusement pris le nauséeux bus X5 vers Oxford afin d'aller rendre visite à ma prédécesseuse dans sa jolie cité d'adoption du moment. Une occasion de discuter allègrement, les yeux grands ouverts dans les rues et les sentiers fort agréables.

Le temps annoncé pluvieux ne l'a heureusement pas été assez souvent pour nous empêcher de crapahuter.

Le parc derrière Christ's Church me plaît bien, je crois que si la Suède m'a rendue adepte des lacs, l'Angleterre me fait apprécier les rivières.

Je valide le choix de ces dessinateurs, la vue est très jolie.

Au risque de faire sourire mon banlieusard préféré, je dois avouer que nous avons trouvé ces boules de duvet et de plumes très miiignooonnes.

 

 

Le parent de derrière se méfie cependant pour rien, nous n'avions aucune intention d'enlever ses petits.

Nous nous sommes furtivement mêlées à des touristes dans Christ's college parce que c'est beau et gratuit grâce à la carte d'université de ma prédécesseuse et aussi que ça contient des toilettes.

Nous avons pu apercevoir un pique-nique en canotiers dans University park.

 

J'aime bien ce petit cottage charmant.

Dans un centre commercial, on peut se payer une pédicure par des poissons bouffeurs de peau morte. Cela m'intrigue, m'amuse... mais me dégoûte un peu aussi.

Le Science park d'Oxford a décoré des bus de la ville. Chimistes, pleurez de joie !

 

Les voisins de ma prédécesseuse ont gardé leur déco de vendredi dernier.

A Oxford aura bientôt lieu une course contre le cancer du sein. Ma prédécesseuse et moi nous sommes entraînées pour la version parisienne, Odyssea, à l'automne. Je rêve déjà de la marée de t-shirts roses et de bonne humeur transpirante.

A force de voir les péniches installées au bord de la rivière à Cambridge, j'en oublie que ce sont des embarcations qui peuvent se déplacer...

 

Sans commentaire...

La version taxi de la classification périodique !

A droite, Merton college.

Dans Magdalen college. J'ai appris à prononcer ce nom comme il le faut, "modlin", dans un manuel d'anglais nommé Oxford tour.

Pour finir, l'au revoir de la reine, dans la version britannique des chats chinois qui remuent le bras.