mardi 31 mai 2011

Happy London Tour

[Comme si les autres ne l'avaient pas été... Lalala, j'aime bien ce titre quand même.]

Dimanche, j'ai pris le train pour Londres au petit matin, afin de rejoindre une amie cailloulandaise et son fiancé devant Buckhingham Palace vers midi, et de me balader un peu avant. Arrivée à l'Est de Londres à la gare de Liverpool Street car Kings Cross n'était pas desservie dans ce sens, j'ai décidé de longer la Tamise avant le joyeux aprèm' en compagnie de ces mignons tourtereaux.

 

Même si je connais pas mal de choses de Londres maintenant, j'aime les revoir sous une autre perspective. Découvrir les augustes bâtiments de la ville depuis un tunnel de travaux est un exemple.


J'apprécie aussi toutes les découvertes qui ne manquent jamais de s'ouvrir à moi lorsque je vais dans cette cité. Voici Leadenhall Market. On y trouve des échoppes classiques, mais aussi un Pizza Express.


On ne le voit pas sur la photo, mais tout était très bleu, et ça m'a émerveillée. Effet raté sur le cliché, heureusement qu'au moins, le pigeon est resté.


Derrière London Tower.


Ceci est une nouvelle perspective pour moi, j'avais toujours traversé le pont dans l'autre sens, sans me retourner.


Je le connaissais plutôt vu ainsi.


Je pense à la Défense en voyant cet endroit irréel.


Ce bâteau de pirates peut être loué pour des fêtes d'anniversaire ou même des mariages, j'ai soumis l'idée aux deux tourtereaux, qui préfèrent cependant leur projet de se passer la bague au doigt au Château de Caillouland.


Ce pont fin et élégant me rappelle celui enjambant la Seine devant le parc de Bercy.


Des grues ! Et là, on voit le bleu, je crois.


J'ai dû quitter la Tamise pour cause de travaux, et j'ai alors remarqué cette propriété privée perdue au milieu de grands immeubles, et entourée de grilles, et sans doute surveillée par des caméras m'ayant enregistré passer mon appareil à travers la clôture.


Il y a du sable au bord de la Tamise, et des gens dessinent dessus ! J'ai plusieurs photos floues dans le lot du jour, honte à moi.


Un autre joli marché, pastel et à l'air de village cette fois.



Comme à Paris, des brocanteurs ont des coffres au bord du cours d'eau.


Voici Londres Plage, enfin, ça y ressemble.


Il s'agit d'une installation pour le festival de la Grande Bretagne. Rien ne manque au bord de mer, ni une mouette géante, ni des cabines, utilisées comme magasins d'extérieur.

 

Voici un cliché où l'on reconnaît bien Londres.


Des tas d'artistes mendiants se déguisent ici. A gauche, Mickey Mouse, à droite, Charlot !


Tada en arrière-plan ! Au premier plan, la poubelle indique que les piétons sont prioritaires et que le cyclisme respectueux est bienvenu. Malheureusement, j'ai souvent l'impression, ici ou à Cambridge, que certains croient toujours que le plus gros gagne.


Ce machin jaune bruyant et sans doute très consommateur est un véhicule à touristes amphibie. On le croise sur l'eau et sur terre.


Deuxième plage de la journée, moins charmante cependant. Et floue, aussi.


Je trouve plutôt étrange de placer des statues classiques sur un pont métallique.


Saut en avant dans le temps, me voici arrivée à Saint James Park où je découvre toujours de nouveaux oiseaux.


Attendant les deux tourtereaux devant le palais, j'ai vu la fin de la relève de la garde à laquelle ils ont assisté. Les gugus à touffe noire m'amusent beaucoup. Je pensais surveiller la foule avec attention, cherchant une veste blanche et un pantalon beige, mes amis ont cependant repéré mon manteau rose fluo et mon paillasson blond avant ça.


Après un déjeuner bienvenu et bavard tous les trois, où j'étais heureuse de voir ce couple rayonnant, ma chère Cailloulandaise nous a amenés à Camden Town, dans un quartier commerçant et hétéroclite, une découverte surprenante et originale. La demoiselle a concocté un programme serré pour leur escapade de plusieurs jours, dont j'ai partagé ce chouette morceau.


Il y avait foule et des tas de magasins vendant des vêtements de tous styles, depuis la lingerie ne couvrant rien aux vêtements indiens pouvant accueillir une famille entière. Une partie des échoppes était dans un ancien hôpital pour chevaux, d'autres étaient dans la rue, d'autres encore dans une cour.


Les péniches m'ont fait penser à Cambridge, que j'ai rallié par un train en fin d'après-midi, épuisée de tant de marche - nous n'avons pris qu'une seule fois le métro pour quelques stations - mais ravie de cette journée de découvertes et de retrouvailles d'amis. Une fois arrivée à la gare de ma ville d'adoption, il me restait trois quarts d'heure de marche, auxquels j'ai survécu avec mon adage favori, à savoir "Ne te plains pas crétine, au moins, tu ne recules pas".

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